• Parce qu'ils m'ont inculqué
    Que dans l'immensité
    Lointain, majestueux
    Tu faisais ta demeure,
    Corps tendu dès l'aurore
    J'ai scruté l'infini
    Du ciel me surplombant
    Avant de m'écrouler,
    Epuisée et frustrée,
    Sur le banc vermoulu
    De mon lopin de terre
    Où la brise du soir
    Murmurait mon prénom

    ... enfin ! Tu étais là !

    26 janvier 2012 - Marie-Claude Pellerin

     

     


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  • Commentaires

    1
    lilif
    Jeudi 26 Janvier 2012 à 11:34

    J'aime qu'il murmure ! Merci Marie-Claude ! C'est beau, c'est doux...vivifiant.

     

    2
    alinepellerin
    Vendredi 27 Janvier 2012 à 12:44

    . . . dans tes entrailles. . . :)

    3
    Modotre Profil de Modotre
    Vendredi 27 Janvier 2012 à 13:51

    . . . oui . . . et dans le fin et subtil silence . . .



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