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    Un jour d'état de grâce
    À l'heure où une à une
    Nos pensées se détachent
    De la lourdeur de vivre
     

    Nous dirons le silence
    Autrement que sans mot
    Dans cette transparence
    Épurée par le Souffle
     

    Qui mieux que nous saura,
    Au vrai de notre coeur,
    Recueillir nos élans
    Trop longtemps étouffés
     

    Pour les oxygéner
    Et les ensemencer
    En l'espace éternel
    Où l'infini commence.

     

    Marie-Claude Pellerin


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